jocelyne robert

Une dernière photo souvenir du Gala Femmes de mérite, le 4 octobre dernier.  Après tout, c'est pas tous les jours qu'on est honorées !!

1. Amie et représentante de l’Honorable Claire L’Heureux-Dubé, juge à la retraite, Cour Suprême du Canada,  Femme de mérite 2010 catégorie Pionnière

2.  Francine Ducharme, Femme de mérite catégorie  Sciences et santé, titulaire de la Chaire Desjardins en soins infirmiers à la personne âgée et à la famille

3. Michèle Stanton-Jean,  catégorie Avancement des femmes, chercheur invitée, Centre de recherche en droit public, Faculté de droit, Université de Montréal

4.  Moi-même, auteure et sexosophe, Femme de mérite dans la catégorie Éducation

5. Denise Cornellier, catégorie Entrepreneurship, propriétaire, chef et présidente directrice générale Cornellier Traiteur

6. Lise Watier, catégorie  Affaires et professions, fondatrice et présidente de Lise Watier Cosmétiques

7. Joanie Rochette, catégorie Sports et mieux-être, médaillée olympique 2010, patinage artistique

8. Représentante de Ana Maria Seifert, catégorie Services à la population, Centre de recherche de l’institut universitaire de gériatrique de Montréal

9. DjemilaBenhabib, catégorie Communication, auteure "Ma vie à contre-coran"

10.  Léa Clermont-Dion, catégorie Jeune femme de mérite, Charte québécoise pour une image corporelle saine et diversifiée

11. Natalie Bondil (absente de la photo)  catégorie Arts et culture, directrice générale et conservatrice en chef, Musée des beaux-arts de Montréal

Les absentes de la photo de groupe:  La juge Claire L'Heureux-Dubé (1) , Natalie Bondil (11) et Ana Maria Seifert (8)

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Publié dans : Culture et Société, Féminisme, Femmes
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2 commentaires

  • Ping de Lendemains de 8 mars: continuer | Les Femmes Vintage - Le blogue de Jocelyne Robert — 9 mars 2011 à 14 h 01 min

    […] dernier, le Y des femmes m’a décerné son prix Femme de mérite dans la catégorie Éducation. Quelques années […]

  • Commentaire de Renée — 20 octobre 2010 à 10 h 57 min

    En haut de la hiérarchie, des femmes de mérite de tout âge de toutes vocations
    qui ont réussi à se distinguer.
    Dans l’ombre de la violence ces femmes victimes « D’ogre en sous-vêtement », l’article de N. Petrowski dans la Presse de ce matin. Cas extrême et lourd de violence sexuelle.
    Dans le même journal en page 6 et 7, un texte détaillé des évènements et en page 18 deux autres exemples de violence conjugale, l’un à Saint-Mathias-sur-Richelieu et l’autre à Montréal-Nord.C’est beaucoup dans un même temps donné.
    Un fléau ou virus de maniaques, casseurs de « catins ».

    Je retiens cette phrase de N. Potrowski: « Des ogres comme Williams sont trop intelligents et rusés pour que leur entourage parvienne à les démasquer. »
    Et voilà, ce qu’est mon commentaire.
    Renée

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