In memoriam 6 décembre 1989

10 commentaires

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  Commentaire de Mario Bellavance — 15 décembre 2012 à 0 h 39 min

  Dans la nuit du drame que vit la petite ville de Newtown, je ne peux m’empêcher de faire le rapprochement avec ton billet In memoriam… J’insiste sur ces paroles de Martin Luther King que j’ai citées précédemment : « La vie, même vaincue provisoirement demeure toujours plus forte que la mort. » À voir cette communauté s’étreindre, se réunir à l’église… je ne doute pas de la vérité de ces paroles. La cruauté de l’acte commis n’altère en rien la beauté de cette communauté solidaire. Mes pensées vont aux victimes innocentes, les parents…

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  Commentaire de Jocelyne Robert — 14 décembre 2012 à 19 h 38 min

  Renée, comme votre candeur est rafraîchissante. Le monsieur n’était pas fou, du moins c’est ce que pense la majorité. C’est pour cela qu’il y une demande en appel qui conduira possiblement à un nouveau procès. Ça, c’est si le monsieur ne disparaît pas dans la brume avant…

  Le monsieur était narcissique, vengeur et haineux. Le monsieur a bu du lave-glace alors qu’il connaissait tous les moyens pour ne pas se rater. Le monsieur, s’il avait été éboueur, boucher ou plombier s’en serait-il sorti aussi facilement. Soyons sérieux!

  Et puis, vous vous feriez réparer le coeur vous par un homme qui a arraché de leurs entrailles celui de ses petits …?

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  Commentaire de renee dion — 14 décembre 2012 à 17 h 43 min

  Réhabiliter Turcotte.
  Rendre capable à nouveau?
  Le monsieur fou qui a eu un moment d’absence ne se promène pas seul tranquillement dans les rues.
  Sa pire punition sera de tenter de circuler. Il pourra changer sa face, les gens vont se tasser.
  Il va sentir la mort.
  Le pardon n’est pas un sacrement, c’est un accomodement raisonnable coûtant moins cher à l’État.
  Réhabilitation…la meilleure chose pour ce réparateur des coeurs de corps serait de l’amener à travailler dans l’armée, réparer les coeurs des soldats travailleurs.
  Youkali

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  Commentaire de renee dion — 9 décembre 2012 à 19 h 18 min

  La mémoire de 1989 à 2012.
  La mémoire est subversive, elle enlève aux vainqueurs et redonne aux oubliés. Oui , je sais , je l’ai déjà dit. Me répéter, m’aide à comprendre.
  Vous avez dû vous poser la même question que moi, que le crime de Drummondville ait été posé par une femme change quoi? Criminologie et unisexe du crime. Personne en parle.
  La Youk

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  Commentaire de renee dion — 8 décembre 2012 à 18 h 21 min

  L’immaculée conception. J’ai pas souvenir d’avoir fêté ça.
  Je sais que les protestants au XVIe s. ont rejeté ce « dogme », c’est quoi ce mot , dogme? Ils étaient aussi contre les indulgences. Il y a eu la version anglicane avec HenrY VIII.
  Une prière c’est personnel, intime.
  Celle de Luther King (?)
  …et la mienne

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  Commentaire de Mario Bellavance — 8 décembre 2012 à 10 h 01 min

  Je te salue Jocelyne! En cette Journée d’Immaculée Conception auquel la nature ajoute aujourd’hui son manteau blanc… En cette journée du calendrier liturgique catholique, où nous commémorons la visite de l’ange Gabriel à Marie qui lui annonce qu’elle est enceinte… En cette Journée bénie, je salue toutes le femmes enceintes d’un monde sans violence, d’un monde de PAIX.
  À celles qui n’auront pas eu la chance de se rendre à ce Jour de félicité, je dédie cette prière de Martin Luther King qui sera tombé avec cette parole féconde d’Éternité: « La vie, même vaincue provisoirement demeure toujours plus forte que la mort. Je crois fermement qu’il reste l’espoir d’un matin radieux. » http://users.skynet.be/prier/textes/PR0618.HTM

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  Commentaire de Jocelyne Robert — 8 décembre 2012 à 9 h 07 min

  OUI!!! Et merci pour ce partage émouvant. 

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  Commentaire de Etienne — 8 décembre 2012 à 2 h 11 min

  Chère Jocelyne,

  Je garderai toute ma vie souvenir de cet effroyable jour.
  De mes colocataires débarquant sur l’étage du 6eme annexe des résidences de l’Université de Montréal.
  De la longue marche qui s’en suivi pour évacuer le stress général mêlé d’incompréhension.
  De la marche encore plus longue et pesante pour rejoindre l’oratoire St Joseph où une célébration eut lieu.
  C’était en 1989, j’avais 21 ans.

  Je te remercie d’avoir ravivé la flamme.
  Qu’elle dure toujours.

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  Commentaire de leggil — 7 décembre 2012 à 9 h 59 min

  Président d’une OSBL, je recevais hier soir (6 décembre) 50 des bénévoles à souper pour fêter Noël dans un restaurant . Pour l’occasion j’arborais un ruban blanc à la boutonnière. Seulement 2 personnes m’ont demandé la signification. Que penser des autres?
  Gilles, ing.

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  Commentaire de renee dion — 6 décembre 2012 à 18 h 13 min

  Le ruban blanc ne suffira pas. Ni les les bas blancs. Je ne m’étais jamais vraiment intéressée à ce drame. J’étais occupée à travailler dans un collège international et à revenir aux enfants de 7 et 9 ans. Je fermais la télévision. Comment comprendre après 23 ans que j’y sois sensible. Je ne sais pas.
  Circonstanciel…le lieu? À l’origine les ingénieurs étaient formés dans des collèges militaires, il n’y avait pas de femmes.Ça s’est passé dans une classe de génie mécanique. Comment ça marche?
  La Youk

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