jocelyne robert

Jean Leloup et Éric Lapointe chez Guy A hier, du bonbon.

Leloup, maigrelet et visage pâle, le contraire du grand mâle musclé et bronzé, fou raide, séducteur au superlatif dans sa spontanéité débridée et malgré ses phrases assassines et anti-séductrices.

Lapointe, dodu et court sur pattes mais bronzé, aux antipodes lui aussi du grand svelte décontracté,  séducteur au max dans sa pudeur renfrognée et malgré son mutisme sauvage.

Attendrissants et éminemment sexy tous les deux.  Je comprends Ginette Reno de craquer pour Lapointe.  Ce qui rend si séduisant ces deux mecs, c’est qu’ils sont, chacun à sa façon, des anti-séducteurs.

Pourquoi donc les anti-canons sont-ils si efficaces quand ils se déclinent au masculin et ont-ils si peu la cote quand ils sont féminins?  Je lance la question.

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Publié dans : Arts et spectacles, Hommes, Rôles et stéréotypes sexuels culturels
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