jocelyne robert

Je suis momentanément dans cet état.  Pardonnez l'expression anglaise qui m'est apparue dans ce cas-ci, la plus appropriée.  Je fais une petite pause vintage. Continuez à distiller vos commentaires ici et là, je vous lirai avec plaisir. À très bientôt!

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5 commentaires

  • Commentaire de Jocelyne Robert — 3 février 2011 à 16 h 27 min

    @ unefemmelibre
    Je crois, j’espère, que c’est une petite qui exige du repos… Merci beaucoup belle femme libre 🙂

  • Commentaire de Une femme libre — 3 février 2011 à 15 h 50 min

    Reposez-vous bien chère. J’espère qu’il ne s’agit pas d’une maladie trop grave, juste d’une toute petite qui exige du repos et vous remettra sur pied dans une forme encore plus resplendissante.

  • Commentaire de Renée — 3 février 2011 à 9 h 13 min

    Grâce à vos archives, j’ai retracé en date du 29 juillet 2010 votre billet s’intitulant « On peut mourir d’amour ». Le lendemain j’ajoutai mes commentaires prenant en considération l’article de S. Galipeau. « Lesbiennes sur le tard ». Il y avait eu auparavant cet article, « Les jeunes frencheuses » qui n’est pas de vous mais s’ajoute au sujet que j’ai abordé plus récemment.
    Oui, parlons plutôt des homosexualités: biologiques, juvéniles, tardives, circonstancielles, bisexuelles. Nos collaborations amènent un plus à nos discussions.
    Renée

  • Commentaire de Jocelyne Robert — 2 février 2011 à 21 h 19 min

    Merci Renée pour votre présence dynamique et fidèle. J’élaborerai dansun futur billet sur les questions posées à l’égard des homosexualités. Curiosité: je ne sais pas de quel article sur les « frencheuses » vous parlez, vous me donnez cette info? Merci!

  • Commentaire de Renée — 2 février 2011 à 11 h 57 min

    « Discrétion féminine »
    Petite pause bien méritée pour JR. Bien de circonstance avec la tempête de neige de ce matin. Va-t-elle durer des jours et des jours? Peu préoccupant quand on a le loisir de la regarder tomber, assise au portable près de la porte-fenêtre. « Out-of-order », je l’aurai été moi aussi suite à cette longue convalescence qui va bientôt se terminer. Je vais du portable à la marchette, je m’attarde à La Presse de ce matin et oupss, me vient à l’idée de me poser des questions…sans réponse.
    Amener des commentaires sur un article de Liette D’Amours, « Travail, homosexualité, la discrétion féminine ». Dans certains cas , la discrétion sera inutile, impossible, tant l’apparence est évidente. Homme ou femme. Dans le long parcours de l’évolution de la sexualité humaine, aurait-on voulu laisser croire que l’identification homosexuelle était réversible pour les deux sexes?
    Les garçonnes des années 20 ont largement affiché cette éventuelle « liberté ». Toutefois, dans des rapports de propportions, ne pourrait-on croire que l’homosexualité est davantage une pratique masculine? Je ne sais pas vraiment, je me pose la question. C’est tardivement, en 1920, que Freud a publié cette étude, « Sur la psychogénèse d’un cas d’homosexualité féminine ». Il parle alors d’une jeune fille amoureuse d’une femme. Grands sentiments féminins?. Oui, je sais, Freud c’est l’ancien temps. Voir « Le Point », Hors -série, oct. nov. 2009. Et plus récemment, cet article de JR sur les « frencheuses ».
    Renée

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