jocelyne robert

Hier, c’était semaine de relâche, la neige tempêtait sur Montréal et c’était mon lancement. Je me suis dit, il n’y aura pas grand monde. Eh bien, eh bien… c’était plein. Les  deux salles de la belle galerie d’art,  Carte Blanche,  rue Amherst crépitaient de joie, pleines à craquer de femmes et d’hommes chaleureux, de tous âges, pris en flagrant délit de bonheur à bavarder les uns avec les autres.

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Je les remercie infiniment d’être venus marquer avec moi, le coup d’envoi de Mensonges d’enfance, premier tome de la trilogie Gwendoline Dernière. Et surtout, je remercie ma maison d’édition, Les éditions de l’homme,  de savoir offrir de tels cadeaux, de si beaux moments, à leurs auteurs . 

Une seule frustration : je n’ai pas cessé de dédicacer et par ricochet, n’ai pu retenir plus que quelques secondes, des personnes que j’aurais voulu garder pendant un long moment. Et pire encore, je reçois ce matin des messages de gens qui étaient là et que je n’ai même pas aperçus de loin.

Une soirée magique à tous égards: atmosphère, beauté des lieux, vin, bouchées, serveurs souriants, chaleur, plaisir d’être ensemble…

Et tout ça, dans le Faubourg à m’lasse, sur les lieux même où est née et a grandi l’héroïne principale du roman, à deux pas de l’Église Sainte-Catherine d’Alexandrie (disparue) où elle a été baptisée.

De belles photos suivront. Pour l’instant,  je croule sous les fleurs du lancement, en attendant de crouler sous les fleurs des critiques…

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